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Apont. : 586 (1859). |
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Caesalpiniaceae (Leguminosae - Caesalpinioideae) |
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2n = 24 |
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Doussié (Fr). Afzelia, East African afzelia, mahogany bean, pod mahogany, Rhodesian mahogany (En). Chanfuta, uvala, mussacossa (Po). Mbambakofi, mukambakusi, mkonge (Sw). |
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Afzelia quanzensis est répandu, son aire de répartition s’étendant depuis le sud de la R.D. du Congo et la Somalie jusqu’à l’Angola, au Botswana, au Zimbabwe, au Mozambique et au nord de l’Afrique du Sud. |
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A l’instar d’autres Afzelia spp., le bois d’Afzelia quanzensis se caractérise par une excellente stabilité avec une faible sensibilité aux variations de l’humidité, de faibles taux de retrait au séchage et une bonne durabilité naturelle. Le bois étant durable, les traitements avec des produits de conservation n’ont pas lieu d’être, même lorsqu’il doit être utilisé dans des conditions d’humidité permanente ou dans des endroits où les insectes xylophages sont légion. Cela en fait un excellent bois qui est utilisé pour la construction de bateaux de plaisance, notamment pour les quilles, les étraves et les panneaux, pour la réalisation de ponts, ainsi que pour les agencements intérieurs. Le bois est apprécié par endroits pour la confection d’instruments de musique. Il est également prisé pour les menuiseries et les boiseries, tant intérieures qu’extérieures, la parqueterie, les huisseries, les cages d’escaliers, la charronnerie, le mobilier, les articles de sport, les jouets et les articles de fantaisie, les étais de mines, les traverses de chemin de fer, les outils agricoles, les ustensiles, les manches d’outils, les égouttoirs, la sculpture, le tournage, les panneaux de fibres et de particules. Il se prête parfaitement aux placages tranchés décoratifs. De par sa bonne résistance à de nombreux produits chimiques et sa grande stabilité dimensionnelle, on le préfère souvent à des matériaux tels que les métaux et les produits synthétiques pour les cuves et les équipements de précision utilisés dans l’industrie. Grâce à son pH neutre, il convient tout à fait pour les emplois où il est en contact avec des objets fragiles comme les antiquités et les livres anciens dans les bibliothèques. En revanche, il ne doit pas être mis en contact avec des tissus lorsque l’humidité est élevée à cause de la présence de colorants. On fait des pirogues monoxyles avec le fût. Il sert également de bois de feu et pour la production de charbon de bois. Les feuilles sont cuites avec de la potasse et consommées avec d’autres légumes. Le bétail broute le feuillage, surtout vers la fin de la saison sèche lorsqu’il n’a presque plus rien à manger. Il se nourrit aussi des feuilles tombées à terre. Les abeilles visitent les fleurs à la recherche de nectar. On se sert de l’écorce pour faire des cordes. Par endroits, les graines sont très à la mode pour la confection de colliers et d’ornements. Afzelia quanzensis est parfois planté comme arbre ornemental d’ombrage. Plusieurs parties de la plante sont utilisées en médecine traditionnelle. La décoction ou la macération de racine se prend contre la schistosomose, les douleurs d’estomac, la gonorrhée et les morsures de serpents, et comme aphrodisiaque, tandis que la pulpe de la racine est appliquée en externe sur les rhumatismes. La décoction d’écorce se boit en cas de paludisme, de pneumonie, de douleurs utérines, de risques d’avortement et de morsures de serpent ; on applique l’écorce en externe pour soigner les affections cutanées, les maux de dents et le saignement des gencives. Le jus de feuilles sert d’antipaludéen et le filtrat de feuilles est utilisé en instillation oculaire en cas de conjonctivite. Les racines entrent dans la composition de poisons de flèches. On prête à l’arbre des pouvoirs magiques. |
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Le bois d’Afzelia quanzensis n’est vendu qu’en petites quantités sur le marché international des bois d’œuvre. Pourtant, dans plusieurs pays il est connu pour être l’un des bois d’œuvre les plus prisés sur les marchés locaux, comme en Somalie, dans l’est de la Tanzanie, en Angola et en particulier au Mozambique (où il est souvent dénommé “chanfuta”). En 2004, Afzelia quanzensis était classé à la troisième place dans la liste des bois d’œuvre les plus importants du Mozambique, fournissant presque 20% de la production totale. Jusqu’au début des années 2000, on a surtout surtout exporté des grumes du Mozambique, mais ensuite les exportations de bois d’œuvre n’ont été autorisées qu’après transformation. Souvent, la qualité des sciages mozambicains ne satisfaisant pas aux normes internationales, le bois est essentiellement utilisé sur le marché intérieur. En 2003 en Tanzanie, près de 400 m³ de bois d’Afzelia quanzensis ont été produits dans le cadre de licences d’exploitation. Dans les monts Usambara orientaux en Tanzanie, le prix d’une planche d’environ 3,7 m × 0,3 m était de US$ 4,80 en 2001. |
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Le bois de cœur, brun jaunâtre à brun rosé, devient rouge-brun à l’exposition prolongée, et présente parfois des stries foncées. Il se distingue nettement de l’aubier, blanchâtre à jaune pâle, et juqu’à 10 cm d’épaisseur. Le fil est droit à contrefil, le grain grossier mais régulier. C’est un bois assez lourd, avec une densité de 800–870(–920) kg/m³ à 12% d’humidité. Si le séchage ne pose en général aucun problème, qu’il s’agisse de déformations et de fentes, le bois sèche en revanche assez lentement. Pour des planches épaisses (de plus de 7,5 cm), il est recommandé de les sécher d’abord à l’air et à l’abri avant de les sécher au four. Les taux de retrait sont faibles, de l’état vert à anhydre ils sont de 2,8–3,8% dans le sens radial et de 4,0–5,5% dans le sens tangentiel. Une fois sec, le bois est très stable en service. A 12% d’humidité, le module de rupture est de 83–135 N/mm², le module d’élasticité de 8500–15 000 N/mm², la compression axiale de 52–80 N/mm², la compression transversale de 14 N/mm², le cisaillement de 7–20 N/mm², le fendage de 17–28 N/mm et la dureté Janka de flanc de 6600–9850 N. Le bois se scie facilement avec de bons outils ; il contient peu de silice (moins de 0,015%) et il est inutile d’employer des lames de scies stellitées pour scier le bois frais. Certaines grumes présentent des poches de gomme qui peuvent entraîner des problèmes au sciage en désaffûtant les dents de scie. Il est recommandé d’employer des outils tranchants au carbure de tungstène pour le rabotage et le moulurage. Il est préconisé de réduire l’angle de coupe à 15° pour éviter des surfaces rugueuses en présence de contrefil. L’emploi d’un apprêt est conseillé si l’on souhaite obtenir des surfaces lisses. Les caractéristiques de clouage et de vissage sont satisfaisantes, mais des avant-trous sont recommandés pour éviter les fentes. Le collage se fait normalement sans problème. Le bois se peint et se vernit bien, même s’il arrive que les zones proches du centre de la grume contiennent des substances anti-oxydantes qui ralentissent le séchage du vernis, et risquent d’entraîner des problèmes pour la peinture. On peut produire des placages tranchés de bonne qualité, mais le bois ne se prête pas au déroulage. Pour le tournage, on obtient d’excellents résultats. Le bois a la réputation de bien résister aux acides et aux produits alcalins. Le bois de cœur est durable, sa résistance aux champignons, aux termites et aux insectes xylophages est excellente, de même que celle aux térébrants marins. Quant à l’aubier, il a tendance à être attaqué par les Lyctus. Le bois de cœur est rebelle à l’imprégnation avec des produits de conservation. La sciure peut provoquer une inflammation des yeux. Les grumes peuvent présenter des crevasses remplies d’une poudre jaunâtre provenant des vaisseaux du bois. L’huile des graines contient d’importantes quantités d’acide crépénynique et d’acide déhydrocrépénynique. L’acide crépénynique est un inhibiteur potentiel du métabolisme des acides gras essentiels dont la toxicité a été prouvée chez le mouton. Quant à l’acide déhydrocrépénynique, il agit en tant qu’inhibiteur de la conjugaison chez les bactéries gram-négatives, ce qui pourrait permettre d’enrayer la propagation de la résistance aux antibiotiques. L’huile contient également des acides oléique et linoléique. Des extraits aqueux de l’écorce ont montré une action antifongique sur Candida albicans. Les racines ont été associées à des cas mortels d’empoisonnement. |
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Le bois d’autres espèces d’Afzelia ressemble à celui d’Afzelia quanzensis : Afzelia africana Sm. ex Pers. et Afzelia bella Harms, exportés principalement d’Afrique de l’Ouest, et Afzelia bipindensis Harms et Afzelia pachyloba Harms, surtout exportés d’Afrique centrale. Les remarquables propriétés du bois d’Afzelia quanzensis, qu’il s’agisse de sa stabilité dimensionnelle et de sa grande durabilité naturelle, sont comparables à celles de certains bois d’œuvre renommés tels que le merbau (Intsia spp.) et le teck (Tectona grandis L.f.), et en Afrique à celles du makoré (Tieghemella heckelii (A.Chev.) Roberty) et du douka (Tieghemella africana Pierre). Au Zimbabwe, le bois d’Afzelia quanzensis sert parfois en sculpture pour remplacer Pterocarpus angolensis DC. |
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Arbre de taille petite à moyenne atteignant 25(–35) m de haut, caducifolié ; fût dépourvu de branches sur 15 m, souvent court, droit ou irrégulier, jusqu’à 100(–150) cm de diamètre, généralement sans contreforts ; surface de l’écorce brun grisâtre, légèrement fissurée et écailleuse, découvrant des plaques plus pâles avec des arêtes sinueuses ; cime arrondie ou aplatie, dense, à branches étalées et épaisses ; rameaux légèrement poilus à glabres. Feuilles alternes, composées paripennées à (2–)4–7(–10) paires de folioles ; stipules à parties basales soudées et persistantes, parties supérieures libres, linéaires et caduques ; pétiole et rachis mesurant ensemble entre (7–)10–20(–30) cm de long ; pétiolules de 0,5–1 cm de long, souvent légèrement tordus ; folioles opposées, largement ovales à oblongues-elliptiques, de 3–9(–14) cm × 2–6 cm, arrondies à émarginées à l’apex, glabres, pennatinervées à environ 8 paires de nervures latérales. Inflorescence : grappe ou panicule terminale atteignant 7,5(–10) cm de long, courtement poilue, à fleurs peu nombreuses. Fleurs bisexuées, zygomorphes, parfumées ; pédicelle de 0,5–1 cm de long ; bractéoles de 0,5–1 cm × 0,5–1 cm, caduques ; hypanthium de 1–2 cm long ; sépales 4, légèrement inégaux, de 1,5–2,5 cm de long, recouverts de poils courts à l’extérieur ; pétale 1, de 2–4 cm de long, muni d’un onglet long, 2-lobé, rouge ou verdâtre avec une ligne médiane rouge, parfois 4 pétales rudimentaires présents ; étamines fertiles 7(–9), de 3–4,5 cm de long, étamines rudimentaires 2, d’environ 0,5 cm de long ; ovaire supère, d’environ 0,5 cm de long, à stipe court, légèrement poilu, style d’environ 2,5 cm de long. Fruit : gousse oblongue ou obovale, aplatie, de 10–20(–30) cm × 5–8 cm, brun foncé, déhiscente par 2 valves ligneuses, renfermant 5–13 graines. Graines ellipsoïdes, de 2–3,5 cm de long, noires, recouvertes sur 1/3 d’un arille en coupe de couleur orange à rouge. Plantule à germination épigée ; 2 premières feuilles opposées, à 4 paires de folioles. |
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Le genre Afzelia comprend quelque 11 espèces, dont 7 sont présentes en Afrique tropicale et 4 en Asie du Sud-Est. Il est très proche d’Intsia. |
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Description anatomique du bois (codes IAWA pour les bois feuillus) : Cernes de croissance : 1 : limites de cernes distinctes. Vaisseaux : 5 : bois à pores disséminés ; 13 : perforations simples ; 22 : ponctuations intervasculaires en quinconce ; 23 : ponctuations alternes (en quinconce) de forme polygonale ; 26 : ponctuations intervasculaires moyennes (7–10 μm) ; 29 : ponctuations ornées ; 30 : ponctuations radiovasculaires avec des aréoles distinctes ; semblables aux ponctuations intervasculaires en forme et en taille dans toute la cellule du rayon ; 42 : diamètre tangentiel moyen du lumen des vaisseaux 100–200 μm ; 46 : ≤ 5 vaisseaux par millimètre carré ; 58 : gomme ou autres dépôts dans les vaisseaux du bois de cœur. Trachéides et fibres : 61 : fibres avec des ponctuations simples ou finement (étroitement) aréolées ; 66 : présence de fibres non cloisonnées ; 69 : fibres à parois fines à épaisses. Parenchyme axial : 80 : parenchyme axial circumvasculaire étiré ; 81 : parenchyme axial en losange ; (82 : parenchyme axial aliforme) ; 83 : parenchyme axial anastomosé ; 89 : parenchyme axial en bandes marginales ou semblant marginales ; 91 : deux cellules par file verticale ; 92 : quatre (3–4) cellules par file verticale. Rayons : 97 : rayons 1–3-sériés (larges de 1–3 cellules) ; 104 : rayons composés uniquement de cellules couchées ; 115 : 4–12 rayons par mm. Inclusions minérales : 136 : présence de cristaux prismatiques ; 142 : cristaux prismatiques dans les cellules cloisonnées du parenchyme axial. (N.P. Mollel, P. Baas & H. Beeckman) |
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Au cours des premières années, la croissance des semis est assez bonne, entre 50–60 cm de haut par an. Au bout de 7 ans, les jeunes arbres forment un fût distinct et une cime étalée. La croissance en diamètre du fût est lente, de 0,5–3 mm/an. L’arbre perd ses feuilles ; les jeunes feuilles sont cuivrées et brillantes. En Afrique australe, les arbres fleurissent en juillet–novembre, au Kenya en mars–avril. Sur chaque inflorescence, une seule fleur s’ouvre à la fois. Les fleurs, parfumées, sont visitées par des insectes comme les abeilles qui servent d’agent de pollinisation. Il faut parfois presque un an pour que les fruits mûrissent après la floraison. Des animaux, comme les singes et les calaos, se nourrissent des arilles et disséminent les graines. Les racines s’associent à des champignons ectomycorhiziens. |
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Afzelia quanzensis se rencontre dans une multitude de milieux, qui vont de la forêt sempervirente sèche à la forêt claire et à la forêt de broussailles, jusqu’à 1350(–1800) m d’altitude. Il préfère les sols sablonneux, profonds, bien drainés, mais on le trouve aussi sur les termitières. Il ne supporte pas l’asphyxie racinaire. Il s’associe souvent avec Brachystegia et Pterocarpus spp. Les sujets âgés résistent assez bien à la sécheresse. Afzelia quanzensis est sensible aux incendies car ceux-ci freinent la régénération naturelle. |
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La régénération naturelle d’Afzelia quanzensis est souvent médiocre. Les semis se trouvent normalement à proximité des arbres-mères ; au Mozambique et dans le nord de l’Afrique du Sud, la mortalité des semis serait élevée, atteignant plus de 65%. Toutefois, au Zimbabwe, 69% des semis repiqués étaient encore vivants au bout d’un an. Ils sont sensibles à la sécheresse et au broutage des animaux. Les fruits peuvent être ramassés lorsqu’ils sont devenus brun foncé. On compte entre 250–500 graines par kg. Le taux de germination des graines fraîches est élevé, jusqu’à 90%, et la germination débute entre 1,5–4 semaines après le semis. Les graines séchées au soleil jusqu’à 6–10% de teneur en humidité se conservent pendant longtemps. On peut les conserver à 3°C dans un endroit sec pendant au moins 10 ans avec encore un taux de germination de 30%. Pourtant, en conditions naturelles, le taux de germination chute fortement au bout de 3 mois. Il n’est pas nécessaire de traiter les graines préalablement même si la scarification accélère la germination. Il est recommandé de retirer l’arille, et de semer les graines dans un mélange de 5:1 de sable de rivière et de compost. Les semis ont besoin d’être arrosés régulièrement et doivent être protégés du gel pendant les deux premières années. Les semis élevés en pépinière peuvent être repiqués au bout de 4–6 mois. On prélève parfois des sauvageons pour la plantation. Un essai mené au Mozambique sur des boutures de bois semi-dur traitées avec de l’acide indole butyrique a permis de réussir l’enracinement à 60%. |
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Les spécimens âgés sont généralement disséminés, rarement en petits groupes. Les arbres peuvent être traités par ébranchage et étêtage. |
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En Tanzanie, le capricorne Pachydissus hector peut attaquer les fûts des arbres sur pied ; il peut provoquer de graves dégâts à l’aubier, mais parfois également au bois de cœur. Au Kenya, les babouins et les écureuils consomment de grosses quantités de graines immatures une fois qu’ils ont ouvert les fruits ligneux avec leurs dents. Les graines mûres sont sensibles aux attaques d’insectes. |
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Le diamètre de fût minimal pour la coupe est de 55 cm en Tanzanie. |
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Le stockage prolongé des grumes après la coupe n’entraîne pas de problème si ce n’est parfois l’apparition de trous noirs dans l’aubier provoqués par les insectes xylophages. Les grumes d’Afzelia quanzensis sont trop lourdes pour être transportées par flottage fluvial. |
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Bien qu’Afzelia quanzensis soit répandu, il est localement menacé par l’exploitation de son précieux bois d’œuvre, par ex. en Tanzanie et au Zimbabwe. Dans bien des endroits, le diamètre de fût minimal pour l’abattage n’est pas respecté et les individus de grande taille sont devenus rares. Un inventaire effectué dans l’est de la Tanzanie en 2005 a montré que presque tous les spécimens d’Afzelia quanzensis abattus pour leur bois d’œuvre étaient sous la limite du diamètre minimal autorisé pour l’abattage. Une collecte de provenances effectuée au Malawi en 1995 a permis de rassembler 29 entrées issues de 4 provenances. |
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La lenteur du taux de croissance d’Afzelia quanzensis limite les perspectives qui s’offrent à l’arbre en tant qu’essence de plantation commerciale. Cependant, la qualité supérieure de son bois en fait un bois d’œuvre intéressant d’un point de vue économique et justifie que la recherche se penche sur sa diversité génétique et sur la sélection de caractéristiques supérieures, afin également de limiter la pression qui s’exerce actuellement sur ses peuplements naturels. Il y a lieu d’effectuer des études pharmacologiques pour corroborer les usages qui en sont faits par la médecine traditionnelle. L’arbre a un intérêt ornemental. Afzelia quanzensis étant un arbre polyvalent, il faudrait songer à l’utiliser dans les plantations agroforestières. |
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General importance | |
Geographic coverage Africa | |
Geographic coverage World | |
Vegetables | |
Dye and tannins use | |
Ornamental use | |
Forage/feed use | |
Timber use | |
Carbohydrate/starch use | |
Fuel use | |
Medicinal use | |
Fibre use | |
Climate change | |
Food security | |
Conservation status | |