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Engl. & Prantl, Nat. Pflanzenfam. Nachtr. 1: 255 (1897). |
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Passifloraceae |
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Adenia gracilis Harms (1897), Adenia gummifera (Harv.) Harms (1897), Adenia guineensis W.J.de Wilde (1971). |
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Monkey rope, snake climber, wild granadilla (En). Mandali, mkengeti (Sw). |
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Adenia cissampeloides est présent depuis le Sénégal jusqu’en Somalie, et dans toute l’Afrique centrale et l’Afrique de l’Est jusqu’en Afrique australe, Afrique du Sud comprise. On le trouve également aux Seychelles. |
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Adenia cissampeloides a de nombreux usages en médecine traditionnelle dans toute l’Afrique tropicale. Les plus souvent mentionnés sont l’infusion ou la décoction de racine, de tige ou de feuilles pour le traitement des troubles gastro-intestinaux tels que maux d’estomac, constipation, diarrhée et dysenterie. Ces infusions ou décoctions se prennent également pour traiter différentes affections inflammatoires, généralement les œdèmes et les rhumatismes, ainsi que pour soulager les douleurs, en particulier les maux de tête et de dos. Une décoction de feuilles ou de racine se prend pour traiter la fièvre et le paludisme et pour ses vertus diurétiques. Les racines pilées, et parfois d’autres parties de la plante, sont couramment utilisées pour panser les blessures et les plaies. Pour la lèpre, une décoction de feuilles s’applique sur les plaies, et une décoction de racines se prend par voie orale en combinaison avec un bain de vapeur préparé avec les feuilles. Au Kenya et en Tanzanie, les cendres de l’écorce ou de la racine sont mélangées à de l’huile de ricin pour traiter la gale. En Afrique orientale, une décoction de racines se boit pour traiter le choléra et, additionnée de lait, pour traiter l’anémie. Un extrait de racine et de tiges est administré par voie orale pour traiter les vers intestinaux. La décoction de feuilles se boit pour traiter les affections hépatiques. En Tanzanie, la pâte de feuilles s’applique sur les os brisés et les fractures. En R.D. du Congo et en Afrique orientale et australe, la feuille et la tige réduites en poudre sont mises à macérer et se prennent pour traiter les affections de la rate. Les bronchites et autres affections pulmonaires se traitent avec les feuilles, consommées crues avec du sel et de l’huile de palme ou préparées comme légume cuit avec de la viande ou du poisson. Les infusions de racine ou des parties aériennes se prennent pour traiter les maladies vénériennes et la stérilité. En Centrafrique, on introduit des copeaux de racine dans le vagin ou on fait des lavements utérins avec la décoction de racine pour provoquer des avortements. La décoction de racine peut aussi se prendre pour traiter les règles trop abondantes. Au Zimbabwe, on boit une infusion de racine et de feuilles et on consomme la poudre de racine et de feuilles dans de la bouillie pour prévenir les menaces de fausses couches. Au Nigeria, on frictionne les seins des femmes avec des feuilles pour stimuler l’écoulement du lait. Une décoction de racine pelée se boit pour traiter les testicules gonflés. L’infusion de feuilles est employée comme stimulant pour traiter la dépression, et l’aliénation mentale au Zimbabwe. Les Manos du Liberia utilisent l’écorce interne pour provoquer l’amnésie. Les racines se mastiquent pour traiter les morsures de serpent et sont utilisées comme antidote au poison de flèche tiré d’Acokanthera. En Afrique de l’Ouest, en Centrafrique et en Ethiopie, on jette les tiges broyées dans l’eau comme poison de pêche. Les feuilles, les rameaux, l’écorce, le bois et les racines peuvent également servir à confectionner des poisons de pêche ou de flèche. En Afrique centrale, orientale et australe, les feuilles se cuisent pour être consommées comme légume, seules ou avec d’autres ingrédients. Le jus rougeâtre sert de cosmétique pour le visage. Au Gabon, on fait de la corde avec les tiges. En Sierra Leone, le jus des tiges sert à donner une surface lisse aux sols de terre battue. Des rameaux broyés déposés à l’entrée d’une ruche tranquillisent momentanément les abeilles. Au Botswana, on utilise également la fumée de racines en train de se consumer pour calmer les abeilles avant la récolte du miel. |
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Une étude réalisée dans les années 1980 au Kwazulu-Natal, en Afrique du Sud, a montré qu’en une année, des négociants en herboristerie avaient acheté à des cueilleurs plus de 450 sacs d’Adenia cissampeloides frais récolté dans la nature. |
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La tige, les feuilles, le fruit et les racines d’Adenia cissampeloides contiennent des hétérosides cyanogénétiques : tétraphylline B (bartérine) et épitétraphylline B (volkénine). Les feuilles renferment également du gummiférol, un di-époxide polyacétylénique cytotoxique, qui a démontré une activité anti-cancéreuse in vitro. On a associé l’abus d’Adenia cissampeloides chez les Zoulous d’Afrique du Sud à des affections hépatiques, et des tests in vivo ont confirmé la présence de composés provoquant des lésions du foie. Les feuilles et l’écorce de la racine sont riches en fer ; la teneur moyenne en fer des feuilles, par 100 g de matière sèche, est de 32,5 mg, de 9,9 mg dans l’écorce de la tige et de 32,1 mg dans l’écorce de la racine. Lors d’un essai de laboratoire, des extraits aqueux de la plante ont eu sur la tension artérielle des chats un effet déprimant lié à la dose. L’effet était neutralisé par de petites doses d’atropine. Un deuxième principe actif pourrait être sympathomimétique et avoir une action vasoconstrictive. L’effet de la plante sur Plasmodium falciparum in vitro est négligeable. Un extrait au diéthyl-éther tiré de l’écorce et formulé en concentré émulsionnable, constitue un anesthésiant efficace sur l’abeille africaine (Apis mellifera adansonii). La pulpe de tige a montré un effet larvicide significatif sur la noctuelle de la betterave Spodoptera exigua. |
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Liane vigoureuse atteignant 30 m de long, habituellement dioïque ; tige atteignant 10 cm de diamètre, rayée de vert bleuâtre, tiges âgées souvent couvertes de poudre blanchâtre ; tiges à vrilles simples ou 3-fides de 10–20 cm de long. Feuilles alternes, simples ; stipules de 0,5(–1) mm de long, largement arrondies à triangulaires, irrégulièrement fendues ; pétiole de (1–)1,5–11 cm de long ; limbe entier ou plus ou moins profondément 3(–5)-lobé, à contour orbiculaire à ovale ou rhomboïde, de (1–)3–14 cm de long, base cordée à tronquée ou cunéiforme, apex obtus ou rétus, rarement aigu, avec une glande unique à la base, jusqu’à 4 glandes sur la surface inférieure de la feuille et 3–7 glandes sur les bords. Inflorescence : cyme axillaire, souvent à vrilles jusqu’à 2(–4) cm de long entre les rameaux, comportant jusqu’à 35 fleurs dans l’inflorescence mâle et 2–6 fleurs dans l’inflorescence femelle ; pédoncule de (0,5–) 1–12(–16) cm de long ; bractées et bractéoles étroitement triangulaires, de 0,5–1 mm de long, aiguës, finement dentées. Fleurs unisexuées, régulières, 5-mères, verdâtre pâle ; pédicelle de 2–10(–15) mm de long chez les fleurs mâles, légèrement plus court chez les fleurs femelles ; sépales et pétales libres ; fleurs mâles à sépales atteignant 8 mm de long et à pétales de 8–11 mm de long, filets des étamines fusionnés à la base, ovaire rudimentaire ; fleurs femelles à sépales atteignant 6,5 mm de long et à pétales atteignant 4,5 mm de long, ovaire supère, ovoïde, de 3–6 mm de long, à 3(–6) côtes, stigmates presque sessiles, réniformes, étamines rudimentaires. Fruit : capsule ovoïde de 2,5–4,5 cm × 1,5–3 cm, coriace à ligneuse, vert pâle, à 30–50 graines. Graines ovoïdes, de 3,5–5,5 mm × 3–4 mm × 2 mm, ponctuées. |
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Le genre Adenia comprend environ 95 espèces, dont une soixantaine sur le continent africain, 20 à Madagascar et 15 en Asie. Il est subdivisé en 6 sections. Adenia cissampeloides appartient à la section Ophiocaulon. Plusieurs autres espèces de cette section ont des propriétés médicinales. Adenia dinklagei Hutch. & Dalziel est présent du Sénégal au Ghana ; en Côte d’Ivoire, les feuilles sont broyées avec du sel et de l’eau et le liquide se prend pour traiter les palpitations. Une infusion de feuilles d’Adenia tricostata W.J. de Wilde, présent en Afrique centrale et en Ouganda, est utilisée contre la fièvre. Adenia bequaertii Robyns & Lawalrée se trouve en R.D. du Congo, au Rwanda, au Burundi, au Kenya et en Ouganda ; en R.D. du Congo, on boit le jus de ses feuilles ou la décoction de feuilles pour traiter les maux de tête ; quant à la décoction et la macération de feuilles, elles se boivent ou s’utilisent en bains pour traiter l’aliénation mentale et le délire de possession. |
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On peut trouver Adenia cissampeloides en fleurs et en fruits toute l’année. |
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Adenia cissampeloides se rencontre dans les forêts pluviales primaires et secondaires, à la lisière des forêts et dans les forêts-galeries, les savanes boisées et les forêts marécageuses, depuis le niveau de la mer jusqu’à 2200 m d’altitude. |
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Adenia cissampeloides est une plante que les Chaggas laissent pousser ou cultivent dans leurs jardins familiaux du Kilimanjaro, en Tanzanie. Il se multiplie aussi bien par graines que par bouturage. On traite les boutures à 2–3 nœuds avec des hormones de croissance avant de les planter dans des sachets en polyéthylène, et on les arrose régulièrement jusqu’à l’apparition des premières pousses. |
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Adenia cissampeloides est un hôte du virus des taches en anneau de la passiflore (PFRSV), auquel Passiflora edulis Sims est très sensible. |
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Les racines, les tiges et les feuilles d’Adenia cissampeloides s’emploient généralement fraîches après cueillette. |
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Adenia cissampeloides est répandu dans toutes sortes de milieux et très commun sur toute son aire de répartition ; il n’est donc pas menacé d’érosion génétique. Des ressources génétiques de spécimens consommés comme légume ont été collectées au Malawi. |
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Adenia cissampeloides a de nombreux usages médicinaux intéressants. Un approfondissement des recherches sur la composition chimique et les activités pharmacologiques des composés d’Adenia cissampeloides et des espèces voisines est justifié. Adenia cissampeloides pourrait être cultivé comme ornementale, car c’est une plante grimpante attractive. |
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